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CINQUIÈME PARTIE : APRÈS SYD ... AVANT THE DARK SIDE OF THE MOON
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01 : Quelques autres 45tours






02 : les tournés 1968 - 1969

Après le départ de Syd, Pink ƒloyd tourna en Angleterre et en Europe jouant jusqu'à trois concerts dans la même journée (le 1er Juin 1968).

Au nombre des concerts mémorables, on peut noter le "First International Pop Festival" de Rome, en Mai 1968 (dont l'enregistrement de trois titres et d'une interview nous sont parvenus) ; les deux concerts d'Amsterdam du 23 Mai 1968 (puisqu'il s'agit de deux des seuls trois concerts entiers de cette époque dont il existe des enregistrements) ; le premier concert gratuit organisé à Hyde Park à Londres et celui du 28 Décembre 1968 à Utrecht, au Margriethallen (car il en existe un enregistrement).

Au regard des concerts dont nous connaissons le contenu, on peut dire que les concerts de la tournée 1968 étaient essentiellement basés autour de :
Interstellar Overdrive
A Saucerful of Secrets
Set the Controls for the Heart of the Sun
Careful with that axe, Eugene
Astronomy Domine
Let There Be More Light

En 1969, le groupe organisa pour la première fois ses concerts autour du concept de "The Man and The Journey", tout en continuant à jouer une grande partie de titres classiques.






03 : UmmaGumma

Que signifie "UmmaGumma" ? :

[Par David Schuetz et Steven Dobbs] : "Ummagumma" est une expression argotique qui signifie "enlever ses bottes" ... qui est aussi une expression argotique qui signifie "faire la bète à deux dos ... qui est une expression argotique pour ... faire l'amour. Bon, mais Rock and Roll aussi ... Donc UmmaGumma pourrait tout simplement vouloird ire Rck and Roll !

La prononciation de "UmmaGumma" semble varier ... Au cours de la série "Omnibus" spéciale Pink ƒloyd sur la BBC, Nick Mason prononce " oo-mah-goo-mah," alors que sur un Roio, Waters annonce une chanson de "uh-ma-gum-a".

La pochette :

Suivant les éditions, on peut voir posé contre le mur en bas, la pochette de la bande originale de la comédie musicale "Gigi", qui a du être effacée de l'édition américaine pour des raisons contractuelles. On y trouve aussi une marque "special Buy" sur la pochette.

La photo du verso est prise sur l'aéroport de Biggin Hill. Les deux roadies sont Alan Styles (celui de
"Alan Psychedelic Breakfast") et Peter Watts (dont on trouve une interview dans un songbook (elle est d'ailleurs disponible on-line à l'adresse suivante : http://ultra.gawth.com/~rjones/floyd)

Sur la pochette, l'effet "Vache qui rit" dans le tableau s'arrette sur la pochette de A Saucerful of Secrets

L'édition MFSL :

MFSL avait prévu de travailler sur UmmaGumma dans la série de CD "UltraSound" mais renonça finalement, en raison "de masters de trop mauvaise qualité". Certains y voient une action du ƒloyd (ou de EMI) qui souhaitant sortir sa propre version remasterisée aurait retiré leur autorisation.

Les autres Ummagummas

Une société spécialisée dans la fabrication de pneus pour vélos propose un modèle ultra adhérent très tendre, préconisé pour les utilisations extrêmes dont le nom est "UmmaGumma".

La partie "Live" :

[Merci à Ian Russell et Glenn Povey et
leur excellent livre]
Contrairement à ce qui est écrit sur la pochette du disque, la partei "live" de UmmaGumma fut enregistrée en trois lieux :
  • 26 Avril 1969 Bromley Technical College, Bromley Common, Kent
  • 27 Avril 1969 Mothers, Erdington, Birmingham, Warwickshire
  • 02 Mai 1969 College of Commerce, Manchester, Lancashire

Et dans la bonne tradition ƒloydienne, de nombreux overdubs furent pratiqués par la suite.

L'idée première :

L'idée première du groupe était d'enregistrer les morceaux pour la postérité et de les retirer du répertoire de scène. Mais le disque ayant eu beaucoup de succès, le public ne cessa de vouloir les entendre et ils restèrent au répertoire de nombreuses années encore

Interstellar Overdrive :

"Interstellar Overdrive" fut enregistré et mixé en vue de son inclusion sur UmmaGumma avant que le groupe ne change d'avis.John Peel en reçu une copie sur
acetate qui lui fut volé ultérieurement. On ne sait ce qu'il estd evenu ensuite ... En tousc as, tous les Roios prétendant inclure une copie de cette evrsion ne présentent que celle des sessions BBC.

La partie studio :

L'idée était de laisser à chaque musicien du groupe une demie face pour qu'il s'y exprime librement. Il devait tout faire par lui-même (composition et jouer de tous les instruments). Nick Mason trivcha certainement, car la il est probable que ce soit son épouse qui ait joué de la flute.

Several Species of Small Furry Animals Gathered Together in a Cave and Grooving with a Pict :

Tout d'abord qu'est-ce qu'un "Pict" ? :
Les picts font partie d'une peuplade, peut-être non celtique, ayant occupé la Grande Bretagne et ayant mené d'incessantes guerres frontalières avec les Romains avant de lentement se fondre dans la communeauté Ecossaise au 9ème siècle.

Et franchement, une fois que l'on a dit cela on a tout dit, car il est difficile d'en dire plus ...
Voici maintenant deux interprétations de la déclamation de Roger Waters :

par Brian Tompsett
-==============-
par Mike Merriam
-==============-
Aye an' a bit of Mackeral settler rack and ruin
ran it doon by the haim, 'ma place
well I slapped me and I slapped it doon in the side
and I cried, cried, cried.

The fear a fallen down taken never back the raize
and then Craig Marion, get out wi' ye Claymore out mi pocket
a' ran doon, doon the middin stain
picking the fiery horde that was fallen around ma feet.

Never he cried, never shall it ye get me alive
ye rotten hound of the burnie crew.
Well I snatched fer the blade O my Claymore
cut and thrust and I fell doon before him round his feet.
Aye!

A roar he cried
frae the bottom of his heart that I would nay fall but as dead,
dead as 'a can be by his feet; de ya ken?

...and the wind cried back.
Aye an' a bit of Mackeral (Fagger, wreck'n) fear
Ran it doon by the (haim)
And I (flew).
When I (slapped) me,
And I flopped it doon in the shade,
And I cried, cried, 'n cried.

The fear o' fallen down 'a taken, ne'er back t' raise.

And then cried Mary,
And I took that weighted claymore right out of (---),
And ran doon, doon the mountain side,
And back unt' the fiery horde that was fall'n round y' feet.

Never, I cried,
Never shall ye take me alive,
Y' rotten hound and the (----- --rew).
Well I (snapped fore) the blade o' my claymore,
Cut and thrust,
And I fell down before him.
Right at his feet. Aye!

A roar, he cried,
Fr' the bottom of his heart,
That I would nay fall

But as dead,
Dead as I can, by feat
(D' ya ken?)

And the wind cried Mary.

Nous ne pouvons jurer de rien, car rien que la dernière phrase a remué beaucoup d'énergie sur "Echoes" quant à savoir s'il dit "and the wind cried back" ou "and the wind cried Mary" (qui le titre d'une chanson Dylan après tout). Le mieux à faire est d'isoler le passage sur l'édition remasterisée et de monter le volume au maximum ... Ensuite à vous de vous faire votre propore opinion.

Enfin, dans le numéro 8 de
The Amzing Pudding (publié avant l'avènement de "Echoes") on peut trouver un petit article sur le morceau qui explique que bien que Waters ait enregistré le morceau seul si vous avez la possibilité de lire le disque très lentement (l'équivalent de 16tours/min) vous pourrez (aux environs des deux-tiers du morceau) entendre David Gilmour dire : "This is pretty avant-garde isn't it ?" ; et aussi à un autre moment Roger Waters disant : " Bring Back my Guitar".

Note de Traduction : Je me suis amusé à reproduire le morceau tel qu'il est indiqué dans les FAQ. Si l'on entend bien Gilmour dire ce qui est annoncé je n'ai pu trouver à aucun moment de passage crédible de Waters disant ce qui est annoncé (à l'endroit ou à l'envers). Un passage étant litigieux, je pense que l'on peut émettre le doute que celui qui a trouvé cel s'est un peu trompé ... Si j'ai le temps j'incluerais un MP3 des deux passages en question dans cet article).

Roger Waters fait bien tout lui même, et les divers bruits ne sont que des paroles jouées à diverses vitesses et passées en boucle, tout comme les percussions qui ne sont que des claquements de mains ...

Quant à Ron Geesin, bien qu'il se soit aussi souvent prété au jeu de la déclamation sans queu ni tête avec l'accent Écossais, il ne participe pas au morceau ... Il en a seulement parodié une version intitulée "To Roger Waters Wherever You Are" (disponible sur la compilation de reprises "A Saucerful of Pink") La question restait de savoir si Roger Waters parodie Ron Geesin ou si c'est l'inverse ...

Sysyphus :

Au début de "Sysyphus", le morceau de Richard Wright on peut reconnaitre la mélodie de "Douce nuit" (le chant de Noel).

"Sysyphus" (sysyphe), ou "Sisyphus" est une figure de la mythologie grèque qui avait reçu pour punission de devoir faire rouler une pierre en haut d'une montagne pour l'éternité.






04 : More

Des titres différents :

Sur de label du disque de l'édition vinyle Capitol, référencée SW-11198, (mais pas sur la pochette), "Up the Khyber" devient : "Up the Khyber (juke box)" ; et "Quicksilver" devient "Quicksilver (Water-Pipe)".

"Up The Khyber" :

Certains prétendent que la chanson "Up the Khyber" aurait été composée pour illustrer une scène de sodomie car "Khyber" est un mot argotique pour "cul" (ndt : le titre aurait donc un équivalent vulgaire du genre "raz le cul" ...). Vous trouverez une analyse détaillée du film "More" dans
Brain Damage n°40 dans un article écrit par David King.

"Cymbaline" :

"Cymbaline" a cette particularité d'être une chanson autoréférentielle puisque le premier couplet demande : "...will the final couplet rhyme ? " (est-ce que le dernier couplet va rhymmer ?) alors que justement le dernier couplet est le seul à ne pas rhymmer ...

     
Lire les notes de traduction

La chanson fit son apparition au sein du répertoire scénique du groupe en tant que "Nightmare" (le cauchemard) qui était une des sections de la suite "The Man & The Journey".

Au mileiu du morceau le cauchemard commençait, avec les bruits de pas d'un marcheur invisible, l'ouverture d'une porte grinçante ... Toutes sortes de sons qui donnait au groupe l'opportunité de faire jouer à plein son célèbre système "Azimuth Coordinator". Donc, logiquement, même après avoir arrêté de jouer "The Man & The Journey" "Cymbaline" resta au répertoire de scène. Et en plus des enceintes permettant la restitution d'un son quadriphonique dans la salle, et en fonctions des possibilités de chaque lieu, le groupe ajoutait parfois des enceintes supplémentaires pour, en jouant avec un joystick à la table de mixage, promener le son des loges au balcon, du sol au plafond et d'avant en arrière ...

La version présente dans le film voit ses paroles légèrement modifiées. En effet, dans le premier couplet, les vers :

       >     Will the tightrope reach the end ?
       >     Will the final couplet rhyme ?

deviennent

       >     Standing by with a book in his hand
       >     it's an easy word to rhyme

(ndt : ce qui dénote du même soucis ;-).

Notez enfin que dans la version du film, le chant est assuré par Roger Waters, au lieu de David Gilmour sur la version disque.






05 : The Man & The Journey

Qu'est-ce que c'est que "The Man & The Journey" ?

[Merci à Adam Winstanley ... entre autres]

En fait, plusieurs enregistrements de concerts comprend "The Man and The Journey", et il est bien possible que certaines personnes en possèdent sans même le savoir. Il s'agit de deux parties composées de morceaux bien connnus de Pink ƒloyd rassemblés au sein de la suite "More Furious Madness From The Massed Gadgets of Auximines" :

MORE FURIOUS MADNESS FROM THE MASSED GADGETS OF AUXIMINES

Première Partie : THE MAN (conceptualisant la journée d'un homme)
Daybreak (> "Grantchester Meadows")
Work (Le groupe scie et cloue de manière musicale ...)
... à ce moment, le groupe se faisait servir le thé sur scène ...
Afternoon (> "Biding My Time")
Doing It (instrumental) (> "Grand Vizier's Garden Party, pt. 3")
Sleep
Nightmare (> "Cymbaline")
Daybreak (reprise)

Deuxième Partie : THE JOURNEY
The Beginning (> "Green is the Colour")
Beset By Creatures of the Deep (> "Careful with that Axe, Eugene")
The Narrow Way (> "The Narrow Way, pt. 3")
The Pink Jungle (> "Pow R Toc H")
The Labyrinths of Auximines (> "Moonhead")
Behold the Temple of Light
The End of the Beginning ("Saucerful of Secrets" dernière partie : "Celestial Voices")

l'ensemble durant environ 70 minutes.

En existe-t il des enregistrements ?

Bien qu'il n'en existe aucun enregistrement officiel, quelques concerts circulent en cassettes. Par exemple :

  • 14 Avril 1969 : Royal Festival Hall, London.
    (Certainement la toute première représentation). Il existe un enregsitrement assez rare de ce concert, qui est facilement identifiable car "Insterstellar Overdrive" ets joué en rappel. Notez que de nombreuses personnes prétendent avoir ce concert, alors qu'elles disposent en fait de celui du 26 Juin 1969

  • 22 Juin 1969: Free Trade hall, Manchester.
    Une cassette comprenant de nombreuses coupures dans l'enregistrement existe. "Set the Controls for the Heart of teh Sun" est joué en rappel.

  • 26 Juin 1969: Royal Albert Hall, London : "The Final Lunacy".
    Avec choeur et orchestre sur la dernière partie de "The Journey" ("Celestial Voices"). Il en existe deux enregistrements différents.

  • 08 Août 1969: Plumpton Festival.
    ... avec seulement "The Journey" que Roger Waters présente comme étant "la deuxième partie d'un truc conceptuel que nous avons présenté un peu partout au début de l'année".
    ("the second half of... a kind of concept thing... we did around the country a bit earlier this year".)

  • 17 Septembre 1969: Concertgebouw, Amsterdam.
    Enregistré et diffusé par une radio Hollandaise, et présent sur de très nombreux Roios. Récemment le concert presque entier fut rediffusé dans d'excellentes conditions (FM stéréo) et proposée sur "Echoes". C'est la version à avoir. La rediffusion ommet quelques passages non musiciaux comme "Work" ou les bruitages d'oiseaux dans "Daybreak" mais est d'une qualité parfaite. Il n'y a pas eud e rappel lors de ce concert. S'il n'y a pas de claviers sur "Behold the Temple Of Light", c'est parce que Rick Wright avait déserté son poste pour se rendre sur le grand orgue du Concertgebouw, et jouer "The End of the Beginning" sur cet instrument prestigieux.

"Biding My Time" There has been some debate as to who actually plays the trumpet during Biding My Time. Conrado Daws and Karl Magnacca settled this by providing the following information: Rick Wright did, at least during live performances. We have a picture of him playing it in a "The Man"/"The Journey"-era concert, and, during the trumpet portion of the song, you can hear Roger-esque bass but no keyboard. (This despite what you might have read in TAP.) "So who or what is Auximines/Auximenes?" No one knows. Dave Gilmour said in an interview that it might have been someone from Greek mythology, but he didn't know for sure. Intrepid Echoesians have searched the 'Net, searched libraries, talked with experts (or at least teachers of ancient Greek) and more, and have come up with nothing solid. There is a Belgian (mining) company called Auximines.






06 :

-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=- 06 : Atom Heart Mother Atom Heart Mother "Atom Heart Mother Suite" The "Atom Heart Mother Suite" is a side-long instrumental split into six different, named parts. Most of the divisions are marked by a return of the main theme of the piece, played by everybody (group and orchestra). Beyond this, there is some controversy over where each section starts and ends. The EMI and MFSL versions of the disc have index markers; they are essentially the same on both discs (give or take a few seconds), and are given below. Many Echoesians, however, are somewhat unsatisfied with these divisions, and so have developed an alternative indexing scheme. This is also given below, along with an explanation... Section Title EMI/MFSL Index Echoes ------------------------------+----------------+---------- a. "Father's Shout" | 05:20 | 02:59 b. "Breast Milky" | 10:09 | 05:22 c. "Mother Fore" | 15:26 | 10:11 d. "Funky Dung" | 17:44 | 15:25 e. "Mind Your Throats Please" | 19:49 | 17:44 f. "Remergence" | ..end | ..end The first part, naturally, is "Father's Shout," with all the weird sounds, horses, and ends with the motorcycle. The second part, "Breast Milky," starts off as a duet for organ and viola; and gradually includes drums, guitar, and the rest of the orchestra. (2:59) Then "Mother Fore" begins. This section is a quiet choral section, with mostly chorus and organ. (5:22) "Funky Dung" has a lot of guitar, strong bass, and that weird choir singing things that sound vaguely like "toast....coffee...yeah...." or "saa saa saa saa saaa.....brrrrrrrrrroooooooooonnnn." (10:11) "Mind Your Throats Please" is the strange (like it's not all strange?) part that begins with alternating organ notes. After the slower beginning with organ and such, a section that echoes has been calling the "Overload" section begins, with lots of out-of-sync voices and sounds; sounding a bit like the Beatles' "Revolution 9." This is either part of "Mind Your Throats" or "Remergence," depending on whose opinion you ask. (15:25) "Remergence," then, is the climactic final section, where the main theme gradually "re-emerges." (17:44) As you can see, the main argument lies in the question of the lengths of "Father's Shout" versus "Remergence." I guess this just goes to show how subjective some of these things can be... "Other AHM suite tidbits" In the AHM Suite, there are two voices that can be clearly heard: 17:28 "Here is a loud announcement" 19:08 "Silence in the studio!" Stanley Kubrick wanted "free rein" to use music from AHM in his film "A Clockwork Orange." The band didn't agree... The title track was named during the sessions for the BBC radio show, when the track needed a name, and Ron Geesin suggested to Roger Waters that he'd look through The Evening Standard and see if he could find a title in there. The paper carried an article about a pregnant woman with a pacemaker, headlined ATOM HEART MOTHER, and the rest (as they say) is history. The track has been announced by the band as: Consequently The Amazing Pudding one side of our next album Jon Rosenberg suggests referring to the early (and different) live performances of this song as TUP for The Untitled Piece. The cow on the album cover is Lulubelle III The cow-cover came to be because the band wanted a cover that was as ordinary and un-psychedelic as possible. "CD art" The Atom Heart Mother EMI CD had a simple fold-open booklet, with a picture of cows, and the track list and credits. The remaster has 24-page booklet with all the lyrics and lots of photos; milking machines, boots, a piano, a man snorkeling, and, of course, a "psychedelic breakfast." Picture disc is of a cow. Also includes a card of "Breakfast Tips" to go along with "Alan's Psychedelic Breakfast"; one recipe is for a "Traditional Bedouin Wedding Feast," the other is in German: ORIGINAL FRANKISH COW BRAIN BREAKFAST A cheap, light, intelligent breakfast -- the alternative to normal scrambled eggs! Ingredients: 100 grams Cow Brain Oil, Salt, Pepper 1 Onion 1 Egg Some Parsley Preparation: First rinse the brain and peel off the skin, which the butcher often leaves on! Heat oil in pan and add chopped onion. Then add the brain and cook. Add the egg and scramble. Add salt, pepper, and parsley to taste. Enjoy! [Editors note: while it may sound disgusting, it actually is rather tasty, adding some garlic improves the recipe] "Who is Alan?" Alan is Alan Stiles, a roadie of Floyd's back then. Alan's Psychedelic breakfast is named after him, and it's his voice you hear on the track. The kitchen sounds were recorded in Nick masons kitchen. The band was never very happy with this piece, which might explain why it was performed live only a few times. During the live performances the band was served tea on stage (this section is missing from the only known RoIO recording of this song). Early British pressings of the album had the sound of the water dripping from the tap continue into the trail-off groove in the record, allowing some turntables to play dripping water forever (or until someone turns it off, whichever came first). The song is divided into three named sections: a. "Rise and Shine" 00:00 b. "Sunny Side Up" 04:22 c. "Morning Glory" 08:17 Alan Stiles can be seen on the back cover of Ummagumma. See the ummagumma manpage.






07 :

-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=- 07 : Zabriskie Point Zabriskie Point "What is Zabriskie Point?" The title Zabriskie Point refers to a mountain Peak in Death Valley, one of the hottest places on earth. "Is the movie any good?" "Zabriskie Point" (1970): [from Toapher] I'm the first one to admit that Z Point is not your mainstream, top quality movie, but that does not mean that it's not worth seeing. It does move rather slowly and the plot is not what I would call riveting. But what's important is to understand the era in which it was made. The movie was filmed in 1969. This was near the peak of civil unrest in this country [the US]. While the acting might not be academy award material, the movie is a very accurate portrayal of the trials and tribulations of the youth subculture. We tend to look back at the 60's in a very romantic light, but the truth is that it must have been a *very* difficult time for everyone. Z Point tries to shed some light on that aspect of the era, rather than just portray it in the "Summer Of Love" way. In addition, there is a sub-plot that pervades the movie. The words to "Crumbling Land" indicate that The Floyd were aware of this and understood what that sub-plot was about. The female lead worked for a group of land developers who were working on creating a community in the desert. They were trying to take a piece of land that was not capable of sustaining human life and transforming it. This required robbing resources from nearby ecosystems, destroying the natural habitats on the site, and polluting an otherwise clean area. The "famous" sex scene that took place at Zabriskie Point itself was a celebration of the natural beauty and purity of the undisturbed landscape. Available as soundtrack and on video: VHS (NTSC/PAL) "What is this rereleased soundtrack I keep hearing about?" The soundtrack has recently (1997) been rereleased by Rhino records, with the addition of four previously unreleased Pink Floyd tracks: * Country Song * Unknown Song (known as Rain In The Country on many RoIOs) * Love Scene (version 4) * Love Scene (version 6) Love Scene 1,2,3 and 5 exist, but have never been released. The rereleased soundtrack also adds unreleased guitar pieces Jerry Garcia recorded for the film. What happened during the soundtrack recordings? The story behind this movie soundtrack in a nutshell: Pink Floyd were asked by Michael Antonioni to make the soundtrack for his movie Zabriskie Point, the band was for two weeks in Rome, slept late, drank beer, wine and went into the studios around 9 PM, and work until 7 or 8 in the morning. No matter what they did, Antonioni did not like the result: "Eeeeeets very beautiful, but eeets too sad." After two weeks of this, Antonioni called a halt to the sessions, and picked three (of the reported eight) completely finished tracks, one of which (Come In Number 51, Your Time Is Up) was a remake of Careful, and was probably the reason the band was asked by Antonioni. The final soundtrack contained music by The Kaleidoscope, The Grateful Dead, Patti Page, The Youngbloods, Jerry Garcia, Roscoe Holcomb, and John Fahey.






08 : Les tournées du chemin de la gloire

les deux tournées 1970 et 1971 furent les dernière au cours desquelles Pink ƒloyd se permit de modifier le répertoire de tournée, et d'improviser longuement au cours des morceaux.

Début 1970

Les concerts de ce début d'années furent les derniers pour lesquels le groupe n'avait pas une liste de morceaux standard à jouer lors des concerts, et offrit aux spectateurs des morceaux atypiques.< Malheureusement, nous ne disposons que de trois enregistrements de cette époque :
18 Janvier 1970 ; Croydon
23 Janvier 1970 ; Paris (diffusé à la radio)
11 Février 1970 ; Birmingham
Chacun est digne d'intérêt, au vu des titres joués ("Sysyphus", "Main them from More", "The violent sequence").
Puis, avec la tournée Européenne (en mars 1970), le groupe commença à recentrer son répertoire de scène sur une liste de morceaux plus restreinte et les variations, tant dans l'ordre des titres joués que dans leur interprétation furent minimes.

Et le reste de l'année 1970

Un concert typique de la tournée 1970 était composé des morceaux suivants :

  • Astronomy Domine
  • Green is the Colour / Careful with that Axe, Eugene
  • Cymbaline
  • A Saucerful of Secrets
  • Set the Controls for the Heart of the Sun
  • Atom Heart Mother
  • Interstellar Overdrive
L'ordre des morceaux pouvait changer d'un soir sur l'autre, et tous les titres n'étaient pas systématiquement joués. "The Embryo" ne fut ajouté au répertoire que plus tard.

Puis, au cours de la tournée Américaine (à partir du 26 Septembre 1970), "Interstellar Overdrive" fut remplacé par "Fat Old Sun".

La tournée Nord-Américaine (du 26 Septembre 1970 au 23 Octobre 1970) était intitulée "Atom Heart Mother World Tour", tandis que la tournée Anglaise qui suivit, (du 11 au 22 Décembre 1970) fut intitulée "atom Heart mother Goes on the Road".

Au cours de ces deux tournées, le groupe bénéficia de l'accompagnement d'un orchestre classique pour le morceau "Atom Heart Mother" :
  • 27 Juin 1970 ; Bath
  • 16 Juillet 1970 ; BBC radio
  • 18 Juillet 1970 ; Hyde Park
  • 27 Septembre 1970 ; New York
  • 21 Octobre 1970 ; San Francisco
  • 23 Octobre 1970 ; Santa Monica
  • 18 Décembre 1970 ; Birmingham
  • 20 Décembre 1970 ; Bristol
  • 21 Décembre 1970 ; Manchester
  • 22 Décembre 1970 ; Sheffield
"The Librest Spacement Monitor"

Il s'agit du titre donné par quelqu'un-qui-en-aurait-entendu-parlé à la version de "Embryo" que l'on peut trouver sur le Roio "Picture of Pink Floyd". Contrairement à ce que l'on peut lire sur le Roio en lui-même, l'enregistrement n'est pas celui du Royal Albert Hall, mais plutot d'un concert de Novembre 1970. En effet, avant "Embryo" on peut entendre le groupe improviser (à laquelle on associe aussi parfois le titre "Corrosion") avant que Roger Waters ne se lance dans une diatribe digne de "Several Species of Small Furry Animals Gathered together in a Cave and Grooving with a Pict" puis de présenter "Mr. Nicholas Mason on drums".

While it may seem unlikely for anyone to mishear this, if you have actually heard this RoIO (as we have) it's not too unlikely.

Début 1971

En 1971 aussi, le groupe fut accompagné au cours de quelques concerts exceptionnels par un orchestre classique pour le morceau "Atom Heart Mother" :
  • 17 Janvier 1971 ; Londres
  • 24 Février 1971 ; Munich
  • 25 Février 1971 ; Hamburg
  • 26 Février 1971 ; Offenbach
  • 03 Avril 1971 ; Rotterdam
  • 12 Juin 1971 ; Lyon
  • 1er Juillet 1971 ; Ossiach (En autriche, pas en Allemagne)
  • 18 Septembre 1971 ; Montreux
  • 19 Septembre 1971 ; Montreux
[ Ces deux listes de concerts sont issues de la
Pink Floyd Encyclopédia et du livre In the Flesh]

Le répertoire de ces concerts était sensiblement identique à celui des concerts de la fin de l'année précédente, "Green is the Colour" étant retiré, un blues servant occasionnellement de rappel (vous le trouverez sous l'appellation "Blues", "Pink Blues" ou "Blues Jam" sur différents Roios), et à partir du 22 Avril 1971, "Echoes" se trouve inclus (sous son titre initial "Return Of The Son Of Nothing").

  • Careful with that Axe, Eugene
  • Fat Old Sun
  • The Embryo
  • Set the Controls for the Heart of the Sun
  • Cymbaline
  • A Saucerful of Secrets
  • Astronomy Domine
  • Blues






09 : Meddle

"One Of These Days"

La voix qui, au mileiu du morceau dit "One of these days I'm going to cut you into little pieces" est celle de Nick Mason.

À environ 3 minutes du début du morceau, on peut entendre un petit thème de clavier qui fait penser à certains au thème de Dr. Who.

[D'après un message de Scott Eberline] :

Durant la diffusion par Westwood One du concert de Roger Waters à Quebec, en 1987, durant la tournée Radio K.A.O.S, une personne aprmi le public demande à Waters qui il voulait couper en petits morceaux. Apparement cela fit remonter de vieux souvenir à la mémoire de Roger qui expliqua qu'il s'agissait d'un présentateur de radio anglais du nom de Jimmy Young. La chanson était conçue comme une attaque personnelle. Le groupe avait l'habitude de diffuser en concert, un montage sans queue ni tête de propos de cet animateur,juste avant de jouer "One of these Days".

En fait, on ne trouve aucun Roio contenant un enregistrement d'une telle mise en scène avant "One of these Days". Mais, lors du concert du 22 décembre 1970, à Sheffield on peut entendre ce montage pendant "Alan's Psychedelic Breakfast", de même que lors du "British Winter Tour '74" on pouvait l'entendre certains soirs avant "Raving and Drooling".

De même, sur les démos de "One of these Days" qui circulent, on peut entendre une boucle sonore du même type./p> La basse qui soutient la rythmique du morceau est doublée, David Gilmour joue sur une voie Roger Waters sur l'autre.

"Fearless"

Le chant que l'on peut entendre à la fin de "Fearless" est le chant des supporters du club de football de Liverpool. Il s'agit de "You'll never walk alone", composé par Rodgers et Hammerstein pour leur comédie musicale "Carousel".
Le groupe Gerry and The Pacemakers en fit une reprise qui eut un certain succès et c'est cette version qui fut adoptée come hymne du club de football de Liverpool, et dont les paroles sont gravées au dessus de la porte de leur stade. L'enregistrement que l'on trouve sur Meddle est chanté par les Liverpool Loyal Fans et les paroles sont les suivantes :

And you'll never walk
Alone
In the dark
Alone

Suivi par des cris et des sifflets, puis par :

LIVERPOOL ; LIVERPOOL ; LIVERPOOL !

Pour ceux qui seraient des accros du livre "Hitchhiker's Guide to the Galaxy", Eddie, l'ordinateur, chante "You'll Never Walk Alone" à la fin du chapitre 17.

"Seamus"

"Seamus" vient de Seamus, le nom du chien de Steve Marriot. Le groupe eu l'idée de ce morceau après avoir constaté que le chien commençait à "chanter" quand quelqu'un jouait de l'harmonica.

"Echoes"

Certains fans considèrent que "Echoes" est la meilleure composition de Pink ƒloyd. "Echoes" est en fait la résultante de trente-six idées musicales sans relation qui formaient un morceau dont le titre de travail était : "Nothing, parts 1-24" (Rien, parties 1 à 24) en dépit des trente-six parties sensées le composer... Les développements ultérieurs furent recomposés en un morceau au titre de travail : "The Son Of Nothing". Enfin, quand le groupe commença à la présenter sur scène, le morceau fut présenté sous le titre "Return of the Son of Nothing". (qui sonne comme un le titre d'un mauvais titre de film de série B).

Je suis perdu avec tous ces titres différents ...

Il n'y a pas de quoi ... Grâce à Dave Ward, Sohnosuke Imai, Ian Russel et Vernon Fitch, on peut suivre l'évolution du titre comme suit :

  • 04 Janvier 1971 :
    l'enregistrement commence à Abbey Road. Le groupe se retrouve avec trente-six pièces musicales pour un morceau provisoirement intitulé "Nothing, Parts 1-24".
  • 22 Avril 1971 :
    première présentation en concert. Le morceau est présenté comme "Return of the Son of Nothing", sans modification jusqu'en Aoùt 1971.
  • Fin Juillet 1971 :
    le premier vers est retiré ("planets meeting face to face ..."). La date exacte de cette modification n'est pas connue.
  • ??.??.1971 :
    Waters propose le titre "We Won the Double" après que son équipe de football préférée a gagné le championnat et la coupe des clubs.
  • 06 Aoùt 1971 :
    Au cours de la tournée Japonnaise, le morceau est présenté comme "Echoes".
    À ce propos, Sohnosuke Imai écrivait ceci sur Echoes :
    (à propos du concert du 06 Aoùt 1971) : "Je n'oublie jamais la présentation d'un annonceur (ndt : au Japon, les concerts sont présentés par des annonceurs qui interviennent en présentattion des morceaux suivant les instructions du groupe ou en tant que traducteur) ni celles faites par Roger Waters. ce soir là, Goro Itoi annonça : "Cette chanson, qui utilise l'écho à plein régime est intitulée "Echoes", "Echoes" !". Je me souviens très nettement qu'il l'ait dit deux fois. Cela raisonne encore clairement dans mes oreilles et je ne peux m'en souvenir sans que cela me remonte les larmes du coeur".
    Il existe un enregistrement très rare de ce concert, sur lequel on peut entendre Roger Waters annoncer la chanson comme "Echoes".
  • 27 Aoùt 1971 :
    fin du mixage du morceau.
  • 17 Octobre 1971 :
    un mixage quadriphinque est présenté à la presse à la Roundhouse, mais ne sera jamais commercialisé.
  • 30 Octobre 1971 :
    sortie de Meddle aux USA
  • 05 Novembre 1971 :
    sortie de Meddle en Angleterre
  • 15 Novembre 1972 ; Boblingen, Allemagne :
    Waters présente le morceau comme "Looking Through the Knothole in Granny's Wooden Leg" (En regardant à travers le trou de la jambe de bois de mamie).
  • 16 Novembre 1972 ; Frankfurt, Allemagne :
    Waters présente le morceau comme "The March of The Dambusters".
"Looking Through the Knotholes..."

  • Tim Banks :
    Je suis en train de regarder un épisode du Goon Show datant de la fin des années 50. Il s'agit de l'épisode intitulé "The 50 Pound Cure". Au début, on peut voir ceci :

    "Bon Dieu, ce sont vraiment des funérailles chantantes et chaleureuses !!! Hahaha. Allez, ne le prenez pas si mal, c'est qu'un mauvais moment à passer. Et maintenant, en rappel, je vais vous chanter une petite chansons intitulée "Looking for the knothloe in grandma's wooden leg".
  • Michael Teige :
    Dans un vieux Bugs Bunny, on voit le lapin jouer cette chanson au bandjo.
  • Christopher K. Coffman :
    J'ai trouvé dans un dictionnaire des chansons populaires une entrée pour "Looking Through the Knothole" dans le "Ulysses" de Joyce. Comme le livre date de 1920 et que l'action y est située en 1904 et que Joyce n'est pas du genre à laisser des anachrnismes se glisser dans ses textes, on peut penser que la chanson date au moins de cette époque. (ndt : je ne suis pas sur de moi en traduisant la référence de l'ouvrage je vous laisse donc l'information en anglais : "the reference is 'and papa's pants will soon fit Willy' on lines 953-4 of the Nausicaa episode (page 373, lines 4-5, if you have the RH edition)).

Quelles sont les paroles originales de "Echoes" ?

[Transcription originale par Matt Denault, Bear, Ray O'Hara et Gerhardt Den Hollander]

Pink ƒloyd, en tous cas avant Animals, avait l'habitude de présenter des morceaux inédits en concert ("Murderistic Woman", The Dark Side of the Moon, "Raving and Drooling" ...), morceaux qui subissaient des changements significatifs avant leur enregistrement définitif.

Le premier couplet de "Echoes" était à l'origine très "spatial" et plusieurs Roios proposent ce texte original, comme ceux enregistrés le 05 Juin 1971 à Berlin ("Lost in the Corridors" et "Mauerspecte" (dont on a reporté plusieurs copies défecteuses au passage) ou le 20 Juin 1971 à Rome. Malheureusement, aucun de ces enregistrements n'est de très bonne qualité, mais l'un dans l'autre on peut en déduire à peu près ce qui suit :

Planets singing face to face
Bound to the air of life, how sweet!
If purposely we might embrace
The perfect union deep in space

Ever might this once relent
And give us leave to shine as one
Our two lights {singing better} [1]
{Than one light can}

And in that longing to be one
The parting {suns shine as one} [2]
I'll see you've got to travel on
And on and on, around the sun

[1] Ces deux lignes sont assez inaudibles.
"Our two lights shining better than one light can" est le plus logicque en terme de sens.

[2] Bien que cette transcription soit la plus sensée, il semble qu'il y ait à l'écoute une syllabe de plus

N'oubliez pas, si vous tentez de comparer ce texte avec un enregistrement d'une autre date que vous pourriez avoir que Waters peut très bien avoir modifié les paroles plusieurs fois avant de finaliser celles que nous connaissons et aimons.

La transcription présentée ci-dessus est celle qui est la plus sensée au regard du reste des paroles (qui sont restées inchangées) si l'on considère que le troisième couplet ("cloudless everyday...") parle de la lumière du soleil.

Vous trouverez aussi plusieurs transcriptions, faites par les personnes mentionnées en entête de ce paragraphe sur le site
http://ultra.gawth.com/~rjones/floyd/lyrics/early.echoes.

Finalement, Roger Waters s'est déclaré énervé par l'image un peu trop "Science Fiction" collée à Pink ƒloyd (surtout en relationa vec des chansons plus anciennes comme, "Astronomy Domine", "Interstellar Overdrive", "Set the Controls for the Heart of the Sun" et "Point Me At the Sky") expliquant que le groupe était plus intéressé par l'espace intérieur que par l'espace extérieur.

De toutes façons, les deux versions de ce premier couplet, convergent vers toutes deux vers la folie.

Alors, c'est Summary (Sommaire) ou Submarine (Sous-marin) ?

Voila qui a fait débat il y a quelques années. Est-ce que l'on doit entendre "Everything is green and submarine" ou "Everything is green and summery?".

Il faut entendre "Submarine" [merci à Dean Hebert]

  • "Overhead the albatross" : L'abatros est un animals marin.
  • "Deep beneath the rolling waves" : les vagues, l'océan donc.
  • "Labyrinths of coral caves" : les coraux, le corail, l'océan encore.
  • "Everything is green" : le vert, la couleur de l'océan.
  • "And submarine." : "submarine", "sous-marin", ce n'est pas l'appareil insubmersible, c'est un adjectif. Enfin, dernier argument, dans le nouveau livret de l'album remasterisé, on lit bien "Submarine".






  • 10 : Les sessions BBC

    En 1970 et 1971, Pink ƒloyd participa deux fois au John Peel Show sur la BBC. Les dates exactes d'enregistrement de ces concerts, ainsi que les morceaux qui y furent joués sont restées un mystère entouré de confusion pendant de nombreuses années, et de nombreuses publications (y compris le livre "In Sessions Tonight" de la BBC et les éditions any=térieures de cete faq donnèrent des informations erronnées sur ces deux concerts).

    Ces deux concerts contiennent quelques uns des meilleurs moments du groupe et sont parmis les enregistrements les plus répandus. Récemment des fans décidèrent de compiler l'intégralité de ces deux concerts sur de Cd-r Roio (Mooed Music et Meddled).

    16 Juillet, 1970. BBC ; Paris Theatre, Londres Angleterre.
    Émission : "Sounds of the Seventies" (John Peel Show, diffusé sur BBC 1 (Radio)).
    Enregistré le 16 Juillet
    Diffusé le 19 Juillet 1970 à 16h00
    Rediffusé le 22 Juillet 1970 à 18h00.
                Titres joués :
                "The Embryo" [10:30]
                "Fat Old Sun" [05:00]
                "Green Is The Colour"/"Careful with that Axe, Eugene" [11:30]
                "If" [04:30]
                "Atom Heart Mother" [26:00]
    Total : 60 minutes

    Il s'agit de la seule représentation en concert de "If" par Pink ƒloyd,(Roger Waters jouera ce morceau lors de ses concerts en solo) avec Roger Waters à la guitare, Rick Wright simultanément à la basse et au claviers. Le Philip Jones Brass Ensemble accompaganit le groupe pour "Atom Heart Mother".

    "Fat Old Sun" n'est pas présent sur les disques promotionnels édités par la BBC, et nous n'en disposons d'un enregistrement uniquement parce que des fans enregistrèrent le concert à la radio à l'époque. La qualité de ce morceau sur "Moeed Music" est de ce fait moins bonne que le reste de l'enregistrement, mais la grande majorité des autres Roio omèttent simplement le titre.

    30 Septembre 1971. BBC ; Paris Theatre, Londres Angleterre.
    Enregistré pour le John Peel Show diffusé sur BBC 1 (Radio)
    Diffusé le 12 Octobre 1971 à 22h00
                Titres joués :
                "The Embryo" [10:30]
                "Blues" [05:00]
                "Fat Old Sun" [15:00]
                "One of These Days" [08:00]
                "Echoes" [28:00]
    Total : 68 minutes

    Note 1 : Comme l'émission de John Peel ne durait que 55 minutes, "Embryo" et le blues ne furent pas diffusés en Angleterre (voir ci-dessous une note à ce propos). Les deux morceaux ne furent diffusés que sur WNEW-FM, une radio New-Yorkaise, milieu 1971. Cette diffusion fut unique et comprend malheureusement le jingle de la radio ("This is WNEW...") en plein mileu de "Embryo". Résultat, tous les enreigistrements de "Embryo" circulant sont soit poluées par le jingle soit ont subit un montage (plus ou moins discret). Les deux sessions 1970 et 1971 sont régulièrement rediffusées aux USA, dans le cadre des "King Biscuit Flour Hour" (au moins une fois par an). Toutefois, il s'agit très souvent d'un mélange incomplet des deux sessions.

    Note 2 : Il y a une rumeur qui circule à propos d'une diffusion en modulation d'amplitude qui aurait proposé : "One Of These Days", "Fat Old Sun", "The Embryo" et "Echoes". Mais aucune cassette n'est venue confirmer la rumeur. À l'heure actuelle, les deux seuls Roios les plus complets et de la meilleure qualité possible offrant ces deux sessions sont Mooed Music et Meddled. Les autres sont soit tronqués, parfois masterisés à partir de vinyles ou présentant un mélange des deux concerts.






    11 : Obscured by Clouds

    "Obscured By Clouds" est la musique du film "La Vallée" enregistrée en moins de deux semaines au Chateau D'Hérouville (au nord de Paris) entre le 23 et le 26 Février 1972 et le 23 et le 27 Mars 1972. À cette époque, le groupe tournait au Japon et aux USA avec ce qui allait devenir "The Dark Side of the Moon".

    Différences entre la version film et la version disque :

    Il y a moins de différences entre les deux versions pour "Obscured by Clouds" qu'il n'y en a pour "More".

    Un petit morceau instrumental d'une minute et demie se trouve dans le film mais pas sur le disque.

    Et le troisième couplet de "Free Four" change : (merci à
    Geoff Rimmer)

    ... So all aboard for the American tour
    And maybe you'll make it to the top
    But mind how you go, and I can tell you 'cause I know
    You may find it hard to get off ...

    devient

    So take my advice
    And cut yourself a slice
    And try not to make it too big
    'Cos things are hard to grow
    And I can tell you
    'Cos I know
    It's better not to make yourself sick.

    [dont le sens est assez proche de l'orignal en somme].

    [Notez que dans le film la musique est ne fond sonore, sous les dialogues des comédiens. Il n'existe pas de version sans dialogues].

    La cassette de "Obscured by Clouds" ne respecte pas l'ordre des morceaux du disque :

    Il y avait à l'époque, un format en cartouches de huit morceaux qui fut supplenté par la cassette vers la fin des années 70. Pour ce format, un album devait être divisé en quatre parties relativement égales, ce qui nécessitait souvent de réarranger l'ordre des morceaux d'un disque. Puis, quand la cassette apparut, quelques années plus tard les maisons de disques ont souvent utilisé les "masters" préparés pour les cartouches, qui qui étaient déjà divisés en parties de mêmes durées, ce qui est à l'origine de l'inversion qui touche "Obscured by Clouds".

    Ordre original Ordre de la cassette
    Obscured by Clouds
    When You're In
    Burning Bridges
    The Gold it's in The...
    Wot's...uh the Deal
    Mudmen
    Childhood's End
    Free Four
    Stay
    Absolutely Curtains
    Obscured by Clouds
    When You're In
    Burning Bridges
    The Gold it's in The...
    Free Four
    Mudmen
    Childhood's End
    Wot's...uh the Deal
    Stay
    Absolutely Curtains

    "Childhood's End"

    Cette chanson est la dernière avant Sorrow pour laquelle David Gilmour est crédité comme compositeur unique.

    Le morceau a été joué quelques fois en concert.

    "Free Four"

    • "The master of foxhounds" (Le maître de chasse à courre)

      Ce qui suit est un extrait du site
      http://www.mfha.com (Site officiel des Masters of Foxhounds of America) :

      "Les maîtres sont désignés pour une certaines durée et sont responsables envers les membres de la chasse et le committée de la courre. C'est lui qui a la responsabilité de la courre pour la journée et qui prend les décisions. Le respect des terrains parcourus et de la maîtrise de la meute sont de sa responsabilité. Il ou elle, doit faire son possible pour assurer des relations sereines avec les propriétaires des terrains sur lequels la meute chasse. Il supervise les croisements au sein de la meute, planifie la courre et appointe les homme qui vont travailler avec lui. S'il ne dirige pas la meute personnellement il appointe un meneur de meute qui peut être un professionnel. La plupart des courre ont plusieurs maîtres de courre. Legroupement des maîtres partage alors les responsabilités. Si un maître ne dirige pas la traque sur le terrain en personne il peut appointer un meneur de traque qui prendra en charge les cavaliers qui suivent le maître. Le travail du traqueur est de permettre au cavaliers de suivre la traque de la meute de suffisemment près pour admirer le travail des chiens sans toutefois interférer avec le travail du meneur de la meute."

    • "and who beats the funeral drum" ("et qui sonne la tambour funéraire")

      La personne sonnant le tambour funéraire détermine l'allure de la procession.

    "Absolutely Curtains"

    La tribu qui chante à la fin du morceau est la tribu des Mapuga.






    12 : RELICS

    Relics en vynile :

    Il existe plusieurs versions de la pochette de cette compilation :
    • En noir et balnc avec un dessin de Nick Mason représentant une machine digne de ce que fabrique Tinguely. Il en existe des versions avec le nom du groupe en rose au lieu d'être en noir.
    • Une photo d'un ouvre boite à quatre yeux ressemblant à un masque (souvant appelée "mask cover") aux USA.
    • une photo de vieilles pièces de monnaie ("coin cover") (Autralie).

    Relics en CD :

    Le cd est désormais disponible dans le catalogue régulier du groupe en version remasterisée, mais avant cette réédition, il s'agissait de l'un des disques les plus recherchés du groupe. Une petite série fut disponible en Europe (ce qui en faisait un excellent objet d'échange avec les américains) et à plus grande échelle en Asutralie sur le label "Axis" (avec la "coin cover")
    La pochette de la nouvelle version présente une photo d'une maquette en trois dimensions de la machine dessinée par Nick Mason.







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